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Au Liban, aider à faire face au traumatisme de la guerre
Depuis septembre 2024 et l’escalade de la guerre, le Liban est soumis à des tensions considérables et ce, malgré le cessez-le-feu intervenu en fin d’année. Ces tensions ont un impact direct sur la sécurité, les abris et la santé mentale des enfants et de leurs familles. Les groupes vulnérables - femmes, enfants et personnes handicapées - sont confrontés à une violence accrue, au harcèlement et à des problèmes de santé physique et mentale en raison d'abris inadéquats et de services limités.
Depuis le cessez-le-feu, les familles déplacées à Beyrouth ont commencé à retourner dans le sud du Liban. Le projet SPECIAL de l’association Asmae qui offre un soutien pour une petite enfance inclusive, s’adapte ainsi aux besoins des familles et vise à les aider à faire face au traumatisme de la guerre, en particulier dans la région de Tyr.
Objectifs :
- Permettre le développement global de 1200 filles et garçons libanais, et réfugiés syriens et palestiniens (0-6 ans) par le biais des services de qualité pour la petite enfance et l’amélioration des compétences parentales.
- Promouvoir des services inclusifs de développement et l'éducation de la petite enfance, y compris un soutien aux enfants les plus à risque : soutien de 10 crèches, soutien à 1000 parents et tuteurs, soutien psycho-social…
- Renforcer la collaboration entre les parties prenantes et la capacité organisationnelle des associations pour une plus grande durabilité.
La Fondation Mustela a apporté un soutien de 15 000 euros à ce projet.
Crédit photo en-tête de l'article : Corentin Fohlen
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A Mayotte, un soutien aux enfants et aux familles les plus touchées
A la suite de l’ouragan Chido ayant frappé Mayotte en décembre 2024, la Fondation Mustela a contribué à l’aide d’urgence nationale à hauteur de 15 000 euros, en partenariat avec la Fondation de France, qui orientera cette dotation pour promouvoir des actions locales de soutien aux enfants et aux familles les plus touchées.
