En 2007, alors doctorante au laboratoire des sciences de l’éducation de l’université Pierre Mendès France, à Grenoble, Nadia Leroy consacrait sa thèse à l’évolution de la motivation des élèves lors de la transition école primaire/collège, afin d’identifier les périodes charnières d’inflexion et ainsi mieux prévenir l’échec scolaire. Elle cherchait également à "connaître les facteurs contextuels (pratiques pédagogiques, familiales) et individuels (estime de soi) qui favorisent, promeuvent et soutiennent un niveau optimal de motivation".
A terme, sa recherche a permis non seulement de donner des moyens d’améliorer la scolarité des élèves, mais aussi d’améliorer leur insertion sociale.